Un débit de 100 Mbps est rapide, mais ce n’est pas le débit internet le plus rapide disponible avec la fibre optique. Il est juste au-dessus de la moyenne pour la plupart des internautes et suffisamment puissant pour vous permettre de diffuser des vidéos en continu, de participer à des réunions sur Zoom ou encore travailler en mode TSE sur le cloud. Ce qui fait qu’un débit est vraiment “bon” dépend de vos besoins en tant qu’utilisateur d’internet. Elle dépend également des vitesses que vous pouvez obtenir dans votre zone géographique ; car tout le monde n’y est pas éligible.
Qu’est-ce qu’un bon débit internet ?
Un bon débit internet est d’environ 100 Mb/ps à 200 Mb/ps. C’est une bande passante suffisante pour travailler avec vos collaborateurs au sein de votre entreprise. Cela vous permet de bénéficier d’une connexion rapide et constante, même lorsque plusieurs personnes sont connectées. Il est vrai que vous n’aurez pas toujours besoin d’une connexion Internet aussi rapide, surtout si vous allez surtout en ligne pour consulter vos e-mails, faire des recherches sur internet ou faire un peu de streaming en HD. Pour des besoins de base, 25 Mbps en réception et de 3 Mbps en envoi sont suffisants. En revanche, 100-200 Mbps n’est pas la vitesse maximale que l’on peut obtenir d’un forfait internet. De nos jours, les offres fibre optique les plus rapides atteignent souvent 1000 Mbps. Néanmoins, les forfaits de 500 à 1 000 Mbps sont utiles si vous travaillez avec beaucoup de monde et que tout le monde est sur internet en même temps. Vous aurez besoin d’une bande passante beaucoup plus large.
La vitesse de l’internet est mesurée en termes de :
- Mégabits par seconde, ou Mbps : Un “bit” est la plus petite unité de données dans un réseau numérique égale à un seul 1 ou 0 en code binaire. Les sites web, les courriels, les vidéos voyagent généralement sur une connexion internet en gros paquets de bits et un mégabit équivaut à un million de bits individuels. La plupart des connexions Internet se situent généralement entre 1 et 1 000 Mbps, ce qui fait du Mbps la mesure la plus courante annoncée par les fournisseurs d’accès à internet (FAI). Mais il existe un écart assez important entre 1 Mbps (très lent) et 1 000 Mbps (très rapide).
- Kilobits par seconde, ou kbps : Il s’agit des vitesses Internet les plus lentes possibles, couvrant tout ce qui est inférieur à 1 Mbps. Ainsi, vous verrez les kbps uniquement en référence aux connexions DSL les plus lentes et aux systèmes plus anciens comme l’accès par ligne commutée. Certains FAI parlerons aussi de 100 mbits.
- Gigabits par seconde, ou Gbps : Il s’agit de vitesses extrêmement rapides, couvrant 1 000 Mbps et plus. Les forfaits Internet les plus rapides, qui passent par les réseaux câblés et à fibres optiques, atteignent généralement un maximum de 1 Gbps. Les experts de l’internet appellent souvent les vitesses de plus de 1 000 Mbps “gigabit internet” ou “fibre giga“. Attention tout de même à la carte réseau de vos appareils. Assurez-vous qu’ils peuvent supporter des débits aussi importants. Enfin, la fibre noire (FON) peut vous permettre de bénéficier des 10 Gbps.
La différence entre les vitesses de téléchargement et de chargement
Les vitesses de téléchargement et d’envoi font référence aux différents types d’activités que vous effectuez sur l’internet et à la vitesse à laquelle vous pouvez les effectuer. Dans presque tous les cas, les vitesses de téléchargement sont beaucoup plus rapides que les vitesses en émission. La plupart de nos activités en ligne impliquent le téléchargement de données. Les fournisseurs d’accès à Internet par câble, DSL et satellite ont donc fait beaucoup plus d’efforts pour augmenter les vitesses de téléchargement alors que les vitesses en envoi sont bien moins importantes. La seule exception concerne les fournisseurs d’accès à Internet par fibre optique comme La Fibre Pro, qui offre des débits symétriques sur la FTTO. Cela signifie que votre vitesse d’envoi sera aussi rapide que votre vitesse de téléchargement ; ce qui en fait un choix idéal si vous dépendez fortement de l’utilisation d’applications comme Google Drive et Zoom, si vous hébergez fréquemment des flux en direct, des serveurs, etc.
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