« Je n’hésite jamais à m’exprimer en anglais lorsque ce sont sur des scènes internationales ou devant des milieux d’affaires, parce que je pense que cela renforce la francophonie ».
Il s’agit, poursuivi Emmanuel Macron, de montrer que le français n’est pas une langue enclavée, mais qui s’inscrit dans le plurilinguisme.
En point de presse un peu plus tard dans la journée, le premier ministre du Québec a soutenu que la majorité des Québécois pensent comme M. Macron.
« On veut tous que notre langue soit la langue officielle en pratique et on va se battre pour que ce soit le cas, mais ça n’empêche pas d’apprendre une autre langue. »
Nous sommes très au-dessus de la pratique sarkozyste invraisemblable de l’anglais et celle très médiocre de Mr Hollande qui avait dû sécher les cours d’anglais à l’ENA.
Dans un pays habitué à des présidents peu à l’aise dans la langue de Shakespeare, Emmanuel Macron marque sa différence. Montrant que s’il est plus jeune que ses concurrents, il dispose d’un atout à lui pour représenter la France à l’étranger.
Un programme spécialement conçu :