L’anglais pour les adultes

L’apprentissage de la langue anglaise est devenu de nos jours une pratique qui s’arrête à la sortie des études. Dans nos occupations, peu de temps est accordé à l’acquisition de nouvelles pratiques et manières de faire. Or, c’est paradoxal : la recherche scientifique nous montre que plus on vieillit, plus il faut apprendre.

Tisser des liens

C’est à l’école que nous avons appris à créer des connections avec le monde qui nous entoure, que nous nous sommes habitués à être stimulés de tout part. Les contextes d’apprentissage peuvent permettre aux séniors de retrouver ce cadre là et de se sentir stimulés par un échange constant d’informations autour de thématiques qu’ils n’auraient autrement pas eu l’occasion de connaître. Ils auront alors la possibilité de rencontrer de nouvelles personnes, de continuer à se construire au sein d’une communauté, comme c’était le cas dans l’enfance et l’adolescence.

Déconstruire les stéréotypes sur l’affaiblissement

Apprendre, c’est l’opportunité de considérer l’âge comme une acquisition perpétuelle et croissante de connaissances, plutôt que comme une perte grandissante de mémoire et de capacités. Être sénior, c’est enfin avoir le temps d’apprendre, et pouvoir bénéficier du boost de confiance en soi que représente l’apprentissage d’une nouvelle pratique ou bien d’une nouvelle langue. Chez ExcelForma nous considérons l’apprentissage linguistique comme un outil de confiance en soi.

L’acquisition et l’amélioration des perceptions et capacités cognitives

Les enfants d’immigrés qui s’installent dans des pays étrangers ont davantage de facilités que leurs parents et grands-parents à apprendre la langue du nouveau pays. On dit même que les enfants bilingues sont beaucoup plus à l’aise pour apprendre d’autres langues. Néanmoins, cela ne signifie pas que les générations plus anciennes n’arrivent à apprendre de nouvelles langues, bien au contraire. Le cerveau adulte est beaucoup plus fertile qu’on pourrait le penser, et bien plus capable de développer des connections profondes au sein de l’apprentissage d’une langue que les recherches du XXème siècle l’ont démontré. C’est prouvé que grâce à la plasticité cérébrale, l’individu qui apprend améliore de ce fait ses capacités cognitives. Des études montrent que ce processus ne ralentit pas chez les séniors. Ne jamais cesser d’apprendre semble alors être très important pour maintenir la plasticité du cerveau, afin de continuer à produire de nouveaux neurones et synapses. Les nouveaux neurotransmetteurs, qu’un adulte en bonne santé produit constamment, permettent non seulement d’alimenter le bon fonctionnement de la mémoire chez les séniors mais également d’entraîner son cerveau à l’acquisition de nouveaux savoirs : plus on apprend, plus on sait apprendre ; plus on sait apprendre, plus on se souvient.

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