Comment justifier son niveau d’anglais ?

Do you speak English ? Une question que l’on ne pose pas qu’aux touristes et voyageurs perdus en terre inconnue ! Vous répondriez par l’affirmative, oui, mais comment pourriez-vous nous le démontrer ? Au cours d’un entretien d’embauche ou d’une conversation téléphonique, on peut facilement basculer vers une langue étrangère, presque naturellement, pour montrer ce que l’on vaut. Mais c’est tout bonnement impossible quand on en reste au stade du CV ou de la petite annonce ! Là, que ce soit pour décrocher un emploi où le bilinguisme est de mise ou pour trouver des élèves auxquels donner des cours particuliers, il faut mettre en avant les diplômes qui conviennent.

Les concours qui valident un niveau d’anglais

  • Le Test of English as a Foreign Language – plus connu sous l’acronyme « TOEFL ».

Comme son nom l’indique, le TOEFL s’adresse à un public de non-natifs. Il est donc particulièrement apprécié des établissements d’enseignement supérieur et des étudiants ou jeunes pros. C’est une création qui date de 1964, grâce à l’initiative de l’université américaine de Princeton, par le biais de son Educational Testing Service (ETS). Appartenant au monde de l’économie privée, le TOEFL (valable deux années) est payant, de même que ses deux concurrents que nous évoquerons dans quelques instants. Le TOEFL se passe sous forme de questionnaire à choix multiples, avec deux modes passages (la version CBT, c’est-à-dire informatique et sans Internet, a été supprimée) :

  • papier (PBT), sur 677 points ;
  • Internet (iBT), sur 120 points.

Naturellement, la compréhension orale (1h à 1h30) comme écrite (1h environ) est évaluée, sans oublier les qualités d’expression à l’écrit (20 minutes) comme en conversation (20 minutes, à l’aide d’un micro).

  • Le TOEIC (ou Test of English for International Communication), lui aussi signé « ETS » mais lancé en 1979, s’inscrit dans la continuité du TOEFL.

La principale différence est que, maintenant, on s’intéresse davantage au monde de la communication internationale, et donc du travail globalisé. Le TOEIC est utilisé dans plus de 150 États de notre planète, et par des milliers et milliers d’entreprises. C’est d’ailleurs le gouvernement japonais qui en a soufflé l’idée à Princeton… ! Au départ, il ne s’agissait que de tester la compréhension (listening pour l’oral et reading pour l’écrit) en deux heures. Les résultats sont donnés sur un barème de 990 points, avec des couleurs différentes pour établir des catégories de niveau entre les impétrants. Logiquement, dans la foulée, ETS lui a adjoint une version spécifique pour l’expression (là aussi orale ainsi qu’écrite, en 1h20), sous l’intitulé « Speaking & writing ».

  • le Graduate Management Admission Test (GMAT) 

Très complet, il semble indispensable pour prétendre à un MBA, où que ce soit. Certaines firmes multinationales, mais surtout des universités et grandes écoles renommées (plus de 3000 !), exigent au recrutement ou à l’admission des scores très élevés. Le GMAT dure 4 h, en mettant à l’épreuve toutes les compétences linguistiques imaginables, pour une notation sur 800 points. Les mathématiques, ou du moins la logique, y ont leur importance. Sur l’attestation figurent les résultats obtenus au cours des cinq années précédentes : une progression ou un abandon de la pratique courante de l’anglais est alors tout de suite visible !

Les certificats de langue anglaise

ETS a mis au point des épreuves plus légères que le TOEFL et le TOEIC pour répondre aux besoins de tout le monde. Il y a par exemple le TOEIC Bridge, à l’attention des élèves du secondaire (ou, du moins, des débutants et intermédiaires), ou encore le TOEFL Junior. L’université de Cambridge, véritable institution au Royaume-Uni, est un autre important pourvoyeur de diplômes. Le KET (Key English Test) octroie le niveau européen A2, tandis que le PET (Preliminary English Test) et le FCE (First Certificate in English) accordent respectivement les niveaux supérieurs B1 et B2. Enfin, les meilleurs auront tout intérêt à s’attaquer au C1 du CAE (Certificate in Advanced English), ou encore au CPE (Certificate of Proficiency in English), conférant une attestation de niveau C2 !

En quittant le langage académique, les justificatifs de Cambridge sont aussi reconnus dans le domaine des affaires : pensez au multilingue BULATS (Business Language Testing Service), éligible en France au compte personnel de formation (CPF). Pour attester d’un niveau conjoint en français, allemand, espagnol et anglais, il n’y a pas d’équivalent ! Le British Council n’est pas en reste, avec son célèbre IELTS (International English Language Testing System), attirant chaque année presque 3 millions de candidats ! Les pays britanniques l’exigent souvent pour toute immigration. En fonction du résultat, une équivalence sur l’échelle du CECRL est donnée.

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